tag:blogger.com,1999:blog-5971269292201674846.post7235331665670700663..comments2024-03-26T12:56:26.440+01:00Comments on L'animal comme prétexte (blog de Sergio Dalla Bernardina): Le propre de l’homme (violence manifeste et sadisme latent)Sergio Dalla Bernardinahttp://www.blogger.com/profile/11287895953202912629noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-5971269292201674846.post-61194367455619950372018-10-18T23:31:25.076+02:002018-10-18T23:31:25.076+02:00Merci pour cette parabole belle et horrible à la f...Merci pour cette parabole belle et horrible à la fois.Sergio Dalla Bernardinahttps://www.blogger.com/profile/11287895953202912629noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5971269292201674846.post-54833599910798821502018-10-18T15:38:11.562+02:002018-10-18T15:38:11.562+02:00Les ressorts de cette mesquinerie sont en effet ap...Les ressorts de cette mesquinerie sont en effet apolitiques. Ils sont à l’oeuvre chez certains adeptes de l’égalitarisme, qui sont plus mus par la crainte d’avoir moins que les autres, fussent-ils à l’abri de tout besoin matériel, que par un idéal de justice appliquant une équitable redistribution des richesses. <br />On trouve aussi ce mauvais pli dans la fascinante acceptation des indécentes inégalités qui prévalent dans le libéralisme, en ce que beaucoup d’entre nous, très bien conditionnés, voient comme un idéal indépassable de remporter le jackpot, de manière totalement fantasmée.<br />C’est la guerre de tous contre tous.Tant pis pour les maillons faibles. <br />Le capitalisme respecte scrupuleusement cette « loi de la jungle ». <br />Corrigez moi si je me trompe, mais nous sommes, me semble-t-il, en plein dans le champs d’exploration du désir mimétique chez René Girard. <br />Armelle Sêpahttps://www.blogger.com/profile/08578531709049821737noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-5971269292201674846.post-39834699762650420442018-10-18T14:08:43.286+02:002018-10-18T14:08:43.286+02:00Deux animaux humains allaient sur une route, lorsq...Deux animaux humains allaient sur une route, lorsqu’un génie leur apparut. Le génie dit au premier : <br />« Demande-moi ce que tu veux, et je te l’obtiendrai. Simplement, je ferai le double pour ton compagnon de route. De sorte que si tu me demandes cent pièces d'or, je lui en donnerai deux cents. » <br />Le premier homme marqua un temps, puis dit : « Crève-moi un œil… » <br />Conte populaire.<br /><br />Armelle Sêpahttps://www.blogger.com/profile/08578531709049821737noreply@blogger.com