Cliché de Sergio Dalla Bernardina
Je lis que « Les humains partagent des ressemblances génétiques significatives, par exemple, environ 99 % de leur ADN avec les chimpanzés et environ 50 % avec les bananes ».
Quant aux chimpanzés j’étais au courant. Pour les bananes je m’attendais à une distance plus prononcée*.
En tout cas, il suffit d’un gadget quelconque pour mettre en évidence notre proximité avec les non-humains.
* Il semblerait que si nous arrivons à nous comprendre, moi et la banane, c’est en raison d’un ancêtre commun.
Il est vrai que la proximité des chimpanzés avec la banane est plus évidente !
RépondreSupprimerEffectivement, ça se voit à l’œil nu. C’est sans doute à cause du déterminisme géographique."
SupprimerMaintenant je ne suis plus sûre de pouvoir manger une banane, j'aurais l'impression de manger un lointain cousin.
RépondreSupprimerOui, toute ingestion, dans cette perspective, devient un acte cannibale
RépondreSupprimerEt si l’essentiel était d’avoir la pêche ?
RépondreSupprimerNicole Juij
Cela me fait penser à un ouvrage d’Erich Fromm qui s’appelait Avoir ou être : un choix dont dépend l'avenir de l'homme. Mieux-vaut-il être une banane ou avoir la pêche ? Je penche, comme vous, pour la deuxième option (Fromm dirait que je n’ai rien compris à ce qu’il voulait dire et il aurait raison).
SupprimerÇa me donne la pêche, en tout cas, et aussi la banane, de retrouver la signature de Nicole Juin.
RépondreSupprimerArmelle Sêpa.