dimanche 15 janvier 2017

Sacrifice et développement durable


Mayas mettant en valeur des ressources renouvelables

Voici une autre perle issue d'un examen d'anthropologie de la nature :
"Le sacrifice humain chez les Mayas semble bien éloigné des principes écologiques que l'on peut imaginer".

(la prochaine merveille dans deux jours)



7 commentaires:

  1. Les Mayas étaient donc décidément en avance sur leurs temps s'ils "prélevaient" déjà les individus surnuméraires pour limiter la prolifération de l'espèce... pour le maintien de la biodiversité et le bien de l'environnement. A quand un restaurant bio et cannibale (Anthropophabio...on pourrait trouver des noms amusants)?

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  2. La frontière homme/animal n'est plus ce qu'elle était. Il s'ensuit que l'anthropophagie change aussi de statut. Dans un restaurant de Padoue, tout récemment, on a présenté à des clients particulièrement exigeants des pattes d'ours. Elles ressemblaient de très près à des pieds humains. Dans le doute (ou jaloux), les autres clients ont appelé la police.
    http://www.huffingtonpost.it/2017/01/14/zampe-orso-piedi-umani_n_14163138.html

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    1. Quand j'étais petite, je mangeais des pattes d'ours... mais il s'agissait de gâteaux!

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  3. L'imagination de Richard Fleischer, avec "Soleil Vert", en 1973, avait bien été traversée par ce genre de solutions alternatives pour pallier une pénurie alimentaire.

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  4. Cela ne m'étonne pas de sa part : il me semble que "fleischer", en allemand, signifie "boucher".

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  5. Croyez-vous que nos patronymes nous déterminent à un si fort degré ? (mes aïeux portaient quelques noms d'oiseaux, au sens propre comme au figuré, ceci expliquerait donc cela ? )
    Et ces noirs qui s'appellent "Leblanc " et ces blancs qui s'appellent "Lenoir".
    En outre, Richard Fleischer dénonçait dans son film cette situation de cannibalisme, mais c'était peut-être dans une quête de rédemption de sa lignée.

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    1. Je ne saurais pas vous répondre. Je me souviens tout juste d'un Monsieur Braconnier porte-parole des chasseurs du sud-ouest et d'un Monsieur Bouteiller représentant des vignerons de la même région (ou d'une autre, peut-être). Il me semble que Lacan, sur ce genre de choses, avait un point de vue.

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