dimanche 19 juin 2016

Qualitatif et quantitatif




L'explorateur Paul Belloni du Chaillu anesthésiant un dangereux gorille

A propos du gorillicide de Cincinnati une interlocutrice (que je ne balancerai pas) m'a demandé : "Mais finalement, qu'est-ce qui vaut davantage, la vie d'un superbe gorille ou celle d'un comunissimo bambino?".

3 commentaires:

  1. "Gare au gorille !"
    Je connais une histoire ressemblante qui s'est mal terminée pour un pinscher alors que le crocodile en a bien vécu. Le même dilemme aurait-il agité votre mystérieuse interlocutrice qui ne doit pas très bien dire cheval ?

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  2. Les alligators aussi, en Floride, se portent bien. J'y reviendrai prochainement.

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  3. J'ai été repris par mon interlocutrice anonyme et je lui demande pardon. Elle n'avait pas employé l'adjectif "superbe". Ce qui rend précieux les gorilles n'est pas leur beauté mais leur rareté. "Sur le plan esthétique, a-t-elle ajouté, je ne les aimes pas tant que cela : ils ressemblent trop aux humains".

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