jeudi 5 octobre 2017

Pour une terre sans le mal? (horizons véganes)


Je reviens sur Bessie dévorée par les loups. S'il n'y avait pas d'ânes, finalement, personne ne les dévorerait.


Torno su Bessie divorata dai lupi. Se gli asini non ci fossero, in fin dei conti, nessuno li divorerebbe.

3 commentaires:

  1. En fait, le mieux ce serait qu'il n'y ait ni loup, ni âne. Ca pourrait vite tourner au suicide collectif cette histoire (c'est un peu la thèse de Clastres sur le sujet d'ailleurs...)

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  2. Ah, mais alors... pas d'étudiants, pas de profs... ce serait dommage !!!

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