Franz Sedlacek Scène de foule de ski, 1924
Que l’on soit au travail ou en vacances, l’État pense à nous. C’est la raison pour laquelle à partir de cette année, en Italie, le port du casque sur les pistes enneigées est devenu obligatoire. C’est déjà bien, mais on pourrait aller plus loin.
Pour réduire davantage les risques liés au ski, ce loisir irremplaçable, source de liesse et de profit, j’ai une idée géniale :
il n’y a qu’à éliminer les sapins.
Dans le même ordre d’idées, j’ai toujours été surprise par la suppression des arbres au bord des routes.
RépondreSupprimerEt pour revenir à mon idée fixe du moment (qui implique grande tristesse et colère), l’abattage massif des troupeaux (mais aussi des volailles) pour éradiquer une maladie transmise par des insectes ou des oiseaux voyageurs me semble relever de la même absurdité.
Ces derniers jours, dans le sud-ouest de la France, on a même organisé un safari de dernière minute pour exécuter des vaches récalcitrantes.
Armelle Sêpa.
Je fais de l’ironie à bon marché. Les personnes sérieuses et bien documentées me répondraient sans doute que le problème, sur les pistes de ski, est bel et bien réel et que l’initiative gouvernementale est techniquement et éthiquement irréprochable. Elles vous répondraient à peu près la même chose. L’avantage de ce blog est qu’en raison de sa confidentialité il nous permet d’exprimer notre point de vue de « dilettantes » (en matière de gestion de la chose publique), sans susciter à chaque fois les réactions des experts.
RépondreSupprimerVous avez oublié de mettre des guillemets aux « experts », les mêmes qui avaient préconisé de nourrir des herbivores avec des farines animales.
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