mardi 30 novembre 2021

Achetez vivant, achetez écolo. L’olivier de Noël.

 


Soyons chic.  Pourquoi acheter un sapin de Noël quand on peut acheter un olivier centenaire ?

L’envie d’enrichir votre CV avec un fragment d’histoire (« Bac littéraire, célibataire, propriétaire d’un olivier de l’époque napoléonienne ») ne pourra qu’augmenter en lisant le court article que j’ai publié dans la revue Sésame. Voici le lien :

https://issuu.com/mission-agrobiosciences/docs/sesame_n10_nov2021-mission_agrobiosciences_inrae-w/5

dimanche 28 novembre 2021

Chasse et sens de l’humour (à propos d’un T-shirt qui ne fait pas rire tout le monde)

 


J’ai du mal à comprendre. Vu de l’extérieur, on dirait que ce T-shirt (qui se voudrait humoristique)  a été conçu par les ennemis des chasseurs. Il résume à lui seul tous les clichés négatifs qui hantent la corporation : le chasseur « incontinent », machiste et impulsif qui, ne pouvant pas cogner sa femme (aux oreilles de lièvre)* se défoule sur les animaux. Cette image suffit à neutraliser l’effort monumental déployé par les Fédérations  pour présenter la chasse sous une bonne lumière (si le chasseur se rend dans les bois, déclarent ses représentants,  c’est qu’il aime la nature et tout particulièrement la faune sauvage qu’il protège et prélève avec modération).

Je suis donc étonné que certains chasseurs se reconnaissent dans cette scène embarrassante, la trouvent « rigolote »   et tiennent à ce que le T-shirt incriminé soit remis en vente**. Ce qu’on pourrait leur reprocher, finalement,   c’est de nous faire croire que le chasseur  des caricatures existe pour de vrai.

 

* On m'a fait remarquer ce détail qui risquait de m'échapper (il ne s'agit pas de véritables oreilles de lièvre, je sais ...). Merci aussi d'avoir attiré mon attention sur cette anecdote, aussi révélatrice qu'un lapsus, qui illustre bien  la pluralité des sensibilités qui se cachent derrière l'image générique, politiquement consensuelle,  du chasseur "standard".

** Et pourquoi pas, d’ailleurs ? Ne soyons pas intolérants.

vendredi 26 novembre 2021

« Des cerfs sur la route ? Allez … ».

 
 
Salut .. Nous aimons pâturer dans ces endroits. Fais attention!

 

- Les temps changent. Autrefois, lorsqu’ils voyaient un panneau routier signalant la présence d’herbivores sauvages,  les gens réagissaient par un sourire sarcastique : « C’est le comble! Des  chevreuils? mais tu rêves! Des chamois? C'est surréaliste ...  les  chasseurs ont tout ratissé! ». Je ne sais pas d’où venait cette certitude, mais la réaction que je décris  était courante  (même chez ceux qui préféraient la ville à la campagne, n’aimaient pas la nature*, passaient dans le coin par hasard  et n’auraient pas su faire la différence entre un lièvre et un lapin).  Aujourd’hui, des affiches numériques très détaillées transmettent le même message.

C'est que ces herbivores imaginaires, bien qu'inexistants, n'arrêtent pas de se multiplier.

*  Avant que l’écologie ne soit à la mode, aimer la nature était plutôt ringard. À part ceux qui y travaillaient, quelques aristocrates désœuvrés et quelques excentriques (notamment anglais), on n'y trouvait que des chasseurs ou presque.


mercredi 24 novembre 2021

Noms propres et noms appropriés

 

Le Paradis terrestre

 

La création du monde (détail),  XIII siècle Venise, Basilique de Saint-Marc  

 

Je viens d'apprendre qu'a l'époque de la Création, lorsqu'on a baptisé les animaux,  leurs noms n'avaient rien de conventionnel. Ils correspondaient parfaitement aux  propriétés de chaque espèce. On appelle cette théorie le Cratylisme.

Je pense que c'est bien plus qu'une théorie. Il suffit de regarder un chien en imaginant qu'il s'appelle "chat" pour s'apercevoir que ça ne marcherait pas.

lundi 22 novembre 2021

« Le fautif n’a pas succombé ». Drame rustique dans les Pyrénées


Ours faisant tout comme nous ou presque dans le célèbre traité de Gaston Fébus

Ça s'est passé dans les terres de Gaston Fébus, prince de Foix. Une ourse, inquiète probablement pour la sécurité de ses petits, a attaqué un chasseur de sangliers. Elle l'a blessé. Le chasseur a réussi à s’en sortir en lui tirant deux coups de fusil qui l'ont tuée.  Les protecteurs des ours ont qualifié cet événement de   « drame ». On peut les comprendre, ces plantigrades omnivores appartiennent à une espèce rare (dans la région et pour l’instant). Et ils ont tendance à nous ressembler : une ourse entourée par ses petits est l’image même de la maternité. Je ne fais pas de l’ironie, ma compassion est sincère. Je me félicite, cependant, que le chasseur de sangliers n’ait pas succombé à ses blessures: « Les gendarmes du PGHM – lit-on dans le reportage de Ouest France Occitanie sont intervenus auprès du chasseur âgé de 70 ans, gravement blessé au niveau de l’artère fémorale. »

Les sensibilités changent et, avec elles, la hiérarchie des êtres. Si la victime, au lieu de l’ours,  avait été  l’homme, aurait-on parlé  d'un  « drame »  ou plutôt d'un « accident ? ». Pour le plaisir de la caricature, j'ai pensé à quelques titres qui pourraient accompagner ce fait tragique si jamais il devait se produire :

« Énième accident de chasse dans les Pyrénées ».

« Chasseur qui ne devait pas être là, remis à sa place par une maman en colère ».

Et j’imagine même la suite de l'article : « Le coup de patte est parti par inadvertance et, par ricochet, il a atteint l’artère fémorale de l’individu ».

vendredi 19 novembre 2021

Nomina sunt res (à propos du nom de mon chien)

 


 
Joan Miró, 1926. Chien aboyant à la lune

 

Nous avions acheté un chien qui s’appelait Miro. Je trouvais ce nom ridicule. D’un côté parce qu’il semblait faire allusion au célèbre peintre catalan sans aucune justification. De l’autre, parce qu’il faisait penser à la version masculine du prénom Mirella, qui a son charme c’est vrai, mais chez les humains. En lisant le livre d’Anne Simon dont il sera question dans notre prochain séminaire*,  j’ai découvert que Miraut, dans la tradition française, était un nom de chien tout à fait respectable.

À l'origine notre chien aussi, peut-être, s’appelait Miraut avec « aut ». Si je l’avais su, je l’aurais pris plus au sérieux.

* Cf. le post précédent.

jeudi 18 novembre 2021


 

De l’humain animalisé au vivant humanisé (troisième année : risques et avantages de la proximité ontologique)

 

Bâtiment EHESS-Condorcet
Salle 25-A
EHESS, 2 cours des humanités 93300 Aubervilliers
lundi 22 novembre de  12:30 à 14:30

 

 

 

Anne Simon

Traversé par l’altérité : le langage poétique par-delà “l’Oxydent”.


À propos de l’ouvrage :
Une bête entre les lignes, essai de zoopoétique. Éditions Wildproject, 2021

 

 

Important : En raison du nombre limité de places, et du fait qu’il n’y aura pas de connexion vidéo, les personnes voulant assister à la séance sont priées de s’inscrire en contactant Sergio Dalla Bernardina à l’adresse suivante : Sergio.Dalla-Bernardina@univ-brest.fr

mardi 16 novembre 2021

Chasseurs oui, mais assermentés

 

 

Il faudrait que j’arrête avec mes commentaires sur  la chasse, sinon je risque de  passer pour un monomaniaque. Mais l’actualité s’y prête. Je viens de saluer, à ma manière, la sincérité du Président de la Fédération des chasseurs de France reconnaissant que la chasse est un plaisir et que la mise à mort des animaux en fait partie.   J’ai néanmoins réagi avec étonnement, sur twitter, à sa proposition de confier à des chasseurs la tâche de faire respecter les lois de l'État dans les espaces boisés. On m’a rappelé à l’ordre (ça commence bien …), en précisant  qu’il n’a jamais été question d’attribuer cette tâche à des chasseurs ordinaires. Il s'agit seulement de chasseurs « assermentés ».  Je me demande : est-ce que cela change vraiment quelque chose sur le plan du message, de la perception du public ? Et j'imagine la conversation suivante :

- J’étais dans la forêt. Des types habillés en vert sont venus me contrôler. Ce n’était pas des gardes champêtres, ni l’amant de lady Chatterley, ni Petit Jean et Robin des Bois. C’était des chasseurs. Mais ils n’ont pas honte ? Déjà on a du mal à les supporter. Il font vraiment tout pour se faire détester !

- Oui mais, attention, c’était peut-être des chasseurs assermentés.

- Ah ben, alors …

dimanche 14 novembre 2021

Encore sur la chasse : un loisir? Un métier? Une passion?

 

 

 


Dans les réseaux sociaux circule avec insistance un entretien où Monsieur Willy Schraen  avoue chasser pour le plaisir de poursuivre un animal jusqu’à sa mise à mort. Ce que je trouve comique, dans cette histoire,  est le fait de présenter le coming out du président de la fédération Nationale des Chasseurs  comme une sorte de lapsus : « Ah, t’as vu ? il a avoué ».  Quoi qu’il dise, finalement,  Monsier Schraen a tort. S’il dit chasser pour régler la faune excédentaire on le traite de menteur. S’il avoue sa passion, on le traite de sadique.

Cela me fait penser à un passage très amusant d’Astérix en Corse que tout le monde connaît.

vendredi 12 novembre 2021

Faut-il se réjouir de la mort d’un chasseur ? Autour des accidents de chasse et de leur réception

 


Paulus Potter (1625-1654)
. La punition du chasseur
 (1647 environ)

L’autre jour j’ai eu l’opportunité de participer à l’émission « Le téléphone sonne »*. On avait tous beaucoup de choses à dire, ce qui m’a empêché d’arriver au bout de mon raisonnement. Mais c’était presque inévitable et je ne me plains pas. Ce que j’avais à ajouter, d’ailleurs, aurait été inécoutable. Ça concernait le thème central de l’émission, portant sur les  accidents de chasse qui rendent nos promenades en forêt de plus en plus aventureuses. En fait, j’aurais aimé consacrer quelques mots aux commentaires qui font suite, habituellement,  à la mort accidentelle d'un chasseur (événement relativement courant). Leur véhémence s’explique car, comme le rappelle l'expression biblique, « qui sème le vent récolte la tempête  … », mais elle ouvre sur une  réflexion plus large autour de la violence et  de ses multiples expressions.

J’en parle dans mon étude Faut qu’ça saigne. Écologie, religion, sacrifice (à côté de la plaque, aujourd'hui, tellement elle s'éloigne de la sensibilité ambiante)**. J’y reporte quelques commentaires haineux comme les suivants :

« Que dire …. La justice divine a voulu te punir  … j’espère seulement que tu n’est pas mort sur le coup … mais seulement après une bonne dose d’agonie et de souffrance … au froid , seul, avec tes souvenirs du sang et de mort que tu as causés  … j’espère que tu ne trouveras pas de paix où que tu sois maintenant »  (GuglielmoCicolin)https://www.facebook.com/TgAmiciAnimali/photos/a.156353671153389/987509048037843/?type=1&theater 

« Ouiiiiiiiiiiii'!!!!!! Je suis heureuse pour ta mort !!!!!!!!! Je juouiiiiiiiiiis ! Cela ne me déplait même pas un petit peu!!!!!! Finalement de la justice pour tous les animaux que tu as tués par  passe-temps !! » (Assunta Verdecanna, ibid.)

Et voici ma réaction :

« Il n’y a pas que ce genre de commentaires. D’autres refusent cette agressivité et s’étonnent. Mais le ton  dominant est la ferveur punitive. C’est un ton homogène, comme si un même courant traversait les lanceurs d’anathèmes. Le lexique fourmille  de références religieuses :  on parle de Karma, de vengeance de la nature, de destin, du bon Dieu « qui donne et qui prend », on souhaite au [chasseur qui vient de mourir]*** les flammes de l’enfer. On se pose en ministres d’une justice céleste et, pour mieux l’exercer, on souille le condamné avec des mots orduriers mélangeant l’obscène et le scatologique.   Lorsqu’on pense aux idéaux humanitaires, iréniques, prêchés par les amis des animaux,  on a du mal à croire que cette population bariolée, qui rêve d’un monde apaisé où le « loup dormira avec l’agneau », puisse faire preuve d’une telle férocité » (p. 56).

*https://www.franceinter.fr/emissions/le-telephone-sonne/le-telephone-sonne-du-vendredi-05-novembre-2021

** Éditions Dépaysage, 2020

 *** Dans l'exemple que je propose il s'agit d'un certain  docteur Pozzetto, un vétérinaire passionné de chasse tombé accidentellement d'une falaise.

mercredi 10 novembre 2021

Les bottes de Monsieur Haardt et les chasseurs à la glu

 


 

Monsieur Georges-Marie Haardt dans un portrait de Bernard Boutet de Monvel

En matière d'éthique animale, nous nous prenons souvent pour des héros civilisateurs.  Nous imaginons par exemple que les derniers adeptes des chasses traditionnelle errent  dans les ténèbres (ténèbres morales et cognitives)* et n’attendent que nous pour accéder à la lumière. J’y pense pendant que je contemple, hypnotisé,  les bottes étincelantes de Monsieur Georges-Marie Haardt, chef de l’expédition Citroën en Afrique (1924-1925)**.  Après des milliers de kilomètres et d'innombrables péripéties, ces bottes brillent au soleil comme si elles venaient de sortir des Galeries Lafayette. C’est une brillance équivoque, de type colonial***.

* Ils sont cruels comme des sauvages et ne comprennent rien à la biodiversité. 

** Appelée la Croisière noire.

***  Face aux sauvages, en tout cas, il est facile de briller.

lundi 8 novembre 2021

Réalisme rural

 

 

« Une truie bien grasse » (Petite et grande Histoire de la région d’Auxonne p. 230)

« Quand on tue le cochon on récupère tout sauf le cri ».

Sur le plan psychologique, on peut gérer  l’horreur de la mort d’une « bête à viande »  en fermant les yeux. On peut le faire, au contraire, en reconnaissant ouvertement cette horreur et la nécessité de l’assumer. C’est la leçon de ce proverbe issu de l’ouvrage Petite et grande Histoire de la région d’Auxonne à travers sa tradition maraîchère * :

* Association Écomusée du Maraîchage et des Traditions Populaires du Val de Saône, 2013

                                                            °°°° °°°° °°°°

 J'en profite pour rappeler que notre séminaire consacré aux frontières ontologiques commence aujourd'hui :

Séminaire De l’humain animalisé au vivant humanisé

Lundi 8 novembre 2021 - de 12h30 à 14h30

Bâtiment Ehess-Condorcet
Salle 25-A
EHESS, 2 cours des humanités 93300 Aubervilliers 

Sergio Dalla Bernardina 

« Ce n’est qu’une plante, mais quand même ». Nostalgies animistes et post-naturalisme.

Après les animaux, c’est le tour des plantes. On découvre avec enthousiasme que  notre ficus a une personnalité, que les bégonias nous regardent, que les  arbres de la forêt comprennent, communiquent, élaborent des stratégies...  On le savait déjà, mais on faisait mine de rien.

samedi 6 novembre 2021

Le droit de garder un animal à la maison 2. Peut-on être d’accord avec Monsieur Dombreval ?

  



Dans un premier temps, comme je l’écrivais dans mon billet précédent, l’idée de soumettre tout « primo-propriétaire » d’un animal de compagnie à la signature d’un certificat, m’est parue pertinente. Mais juste après, des doutes ont commencé à s’installer. Qui choisit les experts censés faire la part entre les « primo-propriétaires » méritants et ceux qui ne le sont pas ?* Ne serait-on pas en présence d’une nouvelle tentative, comme le dirait Foucault, d’élargir le périmètre du biopouvoir ?  Et pourquoi exiger une autorisation pour quelque chose qui, autrefois, allait de soi ? La réponse paraît  simple : on demande une autorisation parce que les non-humains ont leurs  droits et il faut veiller à ce qu’ils soient respectés. D’une façon plus cynique, cependant, on pourrait affirmer que  si on demande des signatures pour détenir des animaux chez soi, derrière la rhétorique animalitaire,  c’est que l’animal reste un instrument.   L’animal de compagnie est notre adorable interlocuteur, certes. Mais si on le regarde sans trop de complaisance,il est aussi notre faire-valoir, notre analgésique, notre souffre-douleur. Il parle de nous. Il véhicule notre envie d’apparaître, notre désir de contrôler notre prochain,  de montrer notre bonté, de donner des leçons de bien-être animal. Comme tout véhicule, l’animal de compagnie a désormais sa plaque d’immatriculation (sa puce électronique). Et son usage, bientôt,  sera subordonné à l’obtention d’un permis.

* Le retour sur les affirmations de  Freud  à propos du background psychologique de certains amis des animaux (des « convertis », d’après lui) nous porterait trop loin.

mercredi 3 novembre 2021

Le droit de garder un animal à la maison 1. Comment ne pas être d’accord avec Monsieur Dombreval ?

 



 

Dans un site de la République française je lis le passage suivant :

" Pour limiter les achats impulsifs et prévenir les abandons, le texte impose aux futurs primo-propriétaires d'un chat ou d'un chien ou d'autres animaux de compagnie de signer un "certificat d'engagement et de connaissance". Un délai de réflexion de 7 jours est imposé entre la délivrance de ce nouveau certificat et l'achat ou le don de l'animal. Ce dispositif s’inspire de la proposition n° 6 du rapport du député Loïc Dombreval sur  "le bien-être des animaux de compagnie et des équidés",(nouvelle fenêtre) remis en juin 2020 au Premier ministre et au ministre de l’agriculture".

https://www.vie-publique.fr/loi/278249-loi-2021-lutte-contre-la-maltraitance-animale.

Je dirais que c’est une bonne chose. Et j'irais encore plus loin.  Combien de farfelus connaissons nous qui mortifient leur toutou en l’habillant comme un petit prince, qui le gorgent comme un éclair au chocolat, qui le bichonnent jusqu’à le dégénérer (pas de zoophilie, juste des petits bisous répétés et des chastes caresses sur la nuque)? Et combien il y en a-t-il  qui dénaturent les chiens de berger en les transformant en gardiens de la paix,  ou qui  humilient les chiens de chasse en les réduisant à de simples producteurs de matière fécale dans les jardins publics? Et que dire de ceux qui, après les avoir castrés, nourrissent  leurs chatons avec la chair des animaux sauvages (« Non à la chasse mais oui à la viande de cerf ou de chevreuil pour mon Braque de Weimar »)? Si j'étais à la place de Monsieur Dombreval je refuserais à ces individus sans scrupules, à ces égoïstes qui font des animaux de compagnie leurs antidépresseurs, le permis de garder un animal à la maison.  (À suivre).

lundi 1 novembre 2021

À qui appartient la nature sauvage ? QCM

 

 

 

Répondez aux deux questions suivantes :

 

À qui appartiennent les espaces alpins ?

 

1) À personne.

 

2) À tout le monde.

 

3) Aux propriétaires des refuges et autres promoteurs touristiques.

 

4) A ceux qui savent les apprécier.

 

5) Aux chamois

 

À qui appartiennent les chamois ?

 

1) A personne

 

2) Aux antispécistes

 

3) A ceux qui savent  les prendre en photo

 

4) A ceux qui savent les chasser

 

5) A ceux qui savent les cuisiner