Passage de Brillat Savarin naïvement persuadé d’avoir un point de vue légitime sur ses rapports avec son chien (Physiologie du goût, ou méditation de gastronomie transcendante, Paris, 1846).
Certains défenseurs de la cause animale ont pris l’habitude de diffuser des images de chiens de chasse torturés
par leurs maîtres (ce qui peut arriver, malheureusement, et c’est consternant). Ils
partent du syllogisme
suivant : puisque le chasseur est un sadique il traite ses chiens
sadiquement. Parfois je me demande d’où leur vient le sentiment qu'il y a des sadiques partout.