Nature morte du photographe Patrick Mollema exposée à la Biennale de Tulle la semaine passée
J’ai appris beaucoup de choses à la Biennale Européenne d’histoire locale de Tulle. La première qui me vient à l’esprit est que la truffe, inodore tant qu’elle est vigoureuse, développe son parfum en mourant. C’est poétique et décadent à la fois. Une esthétique fin de siècle.
J’ai pu aussi constater que, lorsqu’on quitte les grandes concentrations urbaines pour se déplacer au coeur du Pays, on peut parler des animaux qu'on aime et mange à la fois (une chose n’empêchant pas l’autre) sans trop de dérangements.
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