Chien aimé par ses propriétaires qui l'ont amené en vacances avec eux .
Il n'y a rien de
pire que les généralisations. Dans certaines sociétés le
chien occupe une place de prestige, ne serait-ce que dans le cadre mythologique. Il n'empêche que souvent, dans des
civilisations lointaines les unes des autres, il est perçu comme une bête
méprisable : "On m'a traité comme un chien" disait-on en Italie il y a encore peu de temps (en France aussi).
Est-ce en raison de sa familiarité avec le genre humain?
Est-ce en raison de sa familiarité avec le genre humain?
Oui, mais "malade comme un chien" , ou " avoir du chien" ne renvoient pas à une bête méprisable ...
RépondreSupprimerNicole Juin-Beuzit
Vous avez raison. Sur le plan symbolique, au fond, les animaux ne sont que des signifiants : leur rôle dépend du contexte narratif (je paraphrase Claude Lévi-Strauss). Certains usages du référentiel canin, cependant, me semblent plus connotés que d'autres. Le titre "Un après-midi de chien" (film de Sidney Lumet avec Al Pacino) serait difficilement remplaçable par "Un après-midi de chat ou de cheval".
SupprimerCome un cane in Corea.
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