Que faire des ennemis de nos
amis ? Tout dépend de leur niveau de méchanceté. À propos des individus qui ont maltraité les deux labradors de la photo, Madame Roxy, lectrice de 30 Millions d'amis*, propose l'emprisonnement : « Tarés oui et à
enfermer et qu'ils en bavent ces monstres ☠ » (5 septembre 2018). Un certain Monsieur RougeBioman est
tout aussi drastique : « 10 ans de tôle, on récupère l’argent de la
maison pour 30 millions d’amis, interdiction d’avoir un animal et a la sortie
si on trouve ne serait ce qu’une mouche chez eux en cas de contrôle c’est
prison à vie. Ils ont bien de la chance que je ne sois pas juge » (idem)**.
D'un certain point de vue j’aime bien des revues
comme 30 Millions d’amis qui, en toute simplicité, nous apprennent plein
de choses sur la nature humaine.
J'ajouterai cependant que tout n’est pas à jeter chez les méchants : leur inhumanité rend plus visible notre humanité.
J'ajouterai cependant que tout n’est pas à jeter chez les méchants : leur inhumanité rend plus visible notre humanité.
*En tant qu’ancien propriétaire de chiens et de chats j’estime faire partie de cette immense amicale.
** Le monde serait sans doute meilleur s'il était géré par ce Monsieur
** Le monde serait sans doute meilleur s'il était géré par ce Monsieur
Ce genre de réactions me rappelle toujours Patrick Henry quand il déclarait que le coupable du meurtre du petit Philippe Bertrand méritait la peine de mort.
RépondreSupprimerJ’aime bien la petite pensée pour les mouches, mais ça fait beaucoup plus que 30 millions d’amis.
Vous n’hésitez donc plus à utiliser des images carrément « fleur bleue » (oui, je réagis plus vite que mon ombre).
RépondreSupprimerVous avez parfaitement raison, merci de me le faire remarquer. Je passe mon temps à signaler l’ambiguïté des « montreurs de souffrances ». Normalement je cherche à ne pas tomber dans leur jeu (même si peut-être je suis pareil, qui sait?). Cette fois je me suis planté. Mais c'est la dernière fois, c'est promis.
SupprimerVous avez parfaitement raison, merci de me le faire remarquer. Je passe mon temps à signaler l’ambiguïté des « montreurs de souffrances ». Normalement je cherche à ne pas tomber dans leur jeu (même si peut-être je suis pareil, qui sait?). Cette fois je me suis planté. Mais c'est la dernière fois, c'est promis.
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