samedi 17 novembre 2018

Prises de conscience

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VITAKRAFT Jouet pour chien summer Pig


Plus jamais de fourrures chez Jean-Paul Gaultier.

Plus jamais de cochons chez Fleury-Michon.

1 commentaire:

  1. Dans le genre roman de gare gastronomique, « Le restaurant de l’amour retrouvé », écrit par la japonaise Ito Ogawa, présente, entre autres personnages, une femme dont l’animal de compagnie est une truie qu’elle idolâtre. Elle est l’objet de toutes les attentions, jusqu’à sa mise à mort (qui m’a personnellement mise mal à l’aise), justifiée par un évènement exceptionnel. Pour concilier l’amour de l’animal et la consommation de sa chair, on part du postulat que la truie est consentante, ce qui est sans doute une autre forme de comédie de l’innocence, mais elle me va. Seulement, j’utiliserais des procédés moins rudes pour la tuer, (par identification, tout simplement).
    Nous sommes outrés par le traitement réservé aux chiens en Chine.
    Difficile de concevoir d’implacables camions chargés de meilleurs amis de l’homme pour l’abattoir, après une vie toute carcérale.
    « Babe, le cochon devenu berger » de Chris Noonan 1995. nous avait suggéré avec son opiniâtre bonne volonté que ça pourrait valoir pour son espèce.

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