samedi 27 juillet 2019

de Gobineau, la question des races et Matteo Salvini


 
Craniomètre permettant de vérifier le niveau de bâtardise d'un voyou

Selon Arthur de Gobineau, annonçant avec tristesse  la dégénérescence de l'espèce humaine, la source du problème réside moins dans les races que dans leurs croisements*. Son point de vue a beaucoup influencé les National-Socialistes allemands.

Rome 25 juillet. Un jeune carabinier est assassiné par deux voyous. Matteo Salvini,  déclare qu’il fera tout ce qu’il peut pour assurer à la justice ces « due bastardi » (deux bâtards). Il dit ce genre de choses, le vice-Premier Ministre italien, et après il est tout content. Il sait qu’il plait.
  • Arthur de Gobineau (1816-1882). Essai sur l'inégalité des races humaines, 1853-1855.

1 commentaire:

  1. Je persiste et signe, les dirigeants français sont d’une brutalité comparable, et portent préjudice à la notion de culture, justement parce qu’ils s’en prévalent. Ça leur sert uniquement à accentuer plus que jamais un clivage entre les possédants et les autres en flattant un électorat petit bourgeois.

    Macron, parangon du vrp du libéralisme, confond « être » et « avoir » pour scinder le monde : « Une gare, c’est un lieu où l’on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien » le 29 juin 2017.

    Il avait préparé les esprits avec une métaphore poissonnière de grande fraîcheur un peu plus tôt :

    « Le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien »
    (1er juin 2017).
    (Le Comorien, "comme un rien", c'était peu, pas encore tout à fait rien, tant qu’il n’avait pas échoué à la Gare du Nord).

    Castaner: « Je crois qu’on peut être cultivé et parler comme les Français. Je pense qu’on peut aussi avoir l’objectif en politique […] c’est le cas d’Emmanuel Macron, d’arrêter la langue de bois et d’oser nommer les choses. » (5 octobre 2017)

    Ainsi, tous les électeurs éclairés qui continuent de se féliciter de les avoir placés au pouvoir, convaincus d’être des gens de CULTURE, avec des dents et tout, peuvent quand même jouir d’exercer une grande brutalité, celle des « Français ».

    C’est cool.

    Amusons-nous à imaginer les mêmes mots sortis des bouches des autres leaders politiques, mots d'ordre compris.

    Les dirigeants français sont très contents d'eux aussi.

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