"Attention, oncle, Sam, les rats débarquent!".
Illustration tirée du journal américain Judge (6 juin 1903) commentée par Gian Antonio Stella dans l'ouvrage : L'orda. Quando gli Albanesi eravamo noi*.
Si on avait gardé nos distances avec le pangolin, la chauve-souris et … . Il faudrait ériger des murs, voilà. Des murs nous protégeant de l’altérité ethnique, pour commencer. Les Mexicains, par exemple … Ils pullulent comme les rats. Et les Chinois … On les aide à bâtir des laboratoires pour étudier les virus, et voilà qu’il laissent s’échapper le COVID 19. Il faut être des tartes ! (et j’ai les preuves).
*Milan,
Rizzoli, 2003. Loin de jeter l’opprobre sur les Américains, ce livre
montre que les Italiens, lorsque l’occasion se présente,
savent être tout aussi racistes que les autres.
Des murs dissuasifs dans un sens et poreux dans l’autre :
RépondreSupprimer« Lors d’un débat intitulé « La santé connectée : faites gaffe aux GAFAM », le choix de Microsoft (pour héberger des données du Health Data Hub, la gigantesque plateforme destinée à centraliser l’ensemble des données de santé des Français) a été vivement critiqué par le président du forum, le professeur Israël Nisand, ainsi que par le président du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) Jean-François Delfraissy
« J’appelle cela de la haute trahison, réaffirme, contacté par Mediapart, Israël Nisand. Les données de santé sont des données fondamentales. Je n’accepte pas que celles-ci soient livrées à une société américaine alors qu’une loi américaine permet de l’obliger à transmettre celles-ci au gouvernement... » »*
*Médiapart 11 MARS 2020 PAR JÉRÔME HOURDEAUX :
« Données de santé: l’Etat accusé de favoritisme au profit de Microsoft ».
Pour moi, la livraison des données à Microsoft est en soi le problème, indépendamment de la loi américaine (de réquisition ?) - je commente moi-même mon commentaire - Mais ce n’est finalement qu’un changement (assez considérable) d’échelle de contrôle des masses.
RépondreSupprimer