On approche de la période de l'année durant laquelle, dans l’Europe traditionnelle, on tuait le cochon. C’était triste et joyeux à la fois. On compatissait avec le cochon, mais on faisait la fête.
À propos de la joie de tuer le cochon (une joie issue directement de l’estomac, liée aux conséquences pratiques de la mise à mort) on vient de me transmettre le proverbe suivant (chinois) :
“ Si tu veux être heureux une heure, enivre-toi, si tu veux être heureux un jour, tue ton cochon, si tu veux être heureux une semaine, fais un beau voyage, si tu veux être heureux un an, marie-toi, si tu veux être heureux toute ta vie, fais-toi jardinier ”.
Je viens de citer la version que j'ai trouvée sur le net. Celle qu’on m’a livrée ce matin, légèrement différente, prévoyait un mois de joie pour le mariage et un an entier pour le cochon*.
*Dans ce dernier cas, puisqu’on (re)tue le
cochon tous les ans, se faire
jardinier n'est plus indispensable.
En se soûlant toutes les heures ça marche aussi.
RépondreSupprimerChez moi des invités sont venus aujourd'hui avec un mouton entier, j'ai pensé qu'on allait le vider dans la cuisine mais il a déjà été nettoyé, il n'a plus qu'à e mettre sur le balcon, puisqu'il fait entre - 20 et - 30 la nuit ces temps ci ce n'est pas la peine d'encombrer le congélateur. Et tout le monde est content. (depuis Ulaanbaatar)
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