Alberto Giacometti, Chien (1951).
Les Romantiques croyaient au « Génie des nations ». Chaque peuple aurait son âme, son esprit, son tempérament, bref son essence. Cette essence laisserait son empreinte dans tous les domaines, y compris celui de la zootechnie. Dans ce sens, si les Romantiques avaient raison, on pourrait déduire l’esprit d’un peuple à partir du tempérament de ses animaux domestiques et de compagnie.
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