Braque allemand exerçant avec passion son métier et ne comprenant pas la haine du griffon blanc.
L’étape suivante, dans les fantasmes
de ce griffon paranoïaque, fut l’élaboration d’une théorie du complot :
« Si l’autre réussit, c’est qu’on le privilégie. On le caresse plus que
moi, on lui donne à manger plus qu’à moi, on lui parle plus qu’à moi. Et
qu’est-ce qu’on lui chuchote à l’oreille, tout doucement pour que je n’entende
pas ? On lui suggère les
lieux où on a lâché le gibier, c’est évident. Il suffit de voir l’assurance
avec laquelle, ponctuellement, il se
dirige là où moi même je voulais me rendre. Ce
chien me copie ! ».
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