On a parlé de
rewilding, hier matin. J'ai appris que l'on réensauvage le monde un peu partout. Mais à vue de nez, sans
trop de concertation. L’important c’est de réensauvager. Et après,
quand le coin a atteint un niveau d'ensauvagement suffisant,
on fait du survival.
Quelqu’un, pendant la discussion, s’est plaint des réensauvagements ratés : « Chez-moi, par exemple, dans les
Pyrénées, on a voulu remettre les ours, mais ce n’était pas les bons. Ils n’étaient
pas d'ici … ». Les ours de chez soi sont les plus authentiques. C'est bien connu.
In rewilding we trust…
RépondreSupprimerIl faudrait pouvoir dire « Amen » en anglais.
Armelle Sêpa
J’ai planté mon premier arbre, un sapin, à l’école primaire. J’ai eu même ma photo sur le journal local (avec le nom de quelqu’un d’autre à la place du mien , hélas). On appelait cette cérémonie annuelle « La festa degli alberi ». Bref, on faisait du rewilding à l’insu de notre plein gré. Et c’était déjà la grande messe. De retour en ville, j’étais fier comme un démiurge.
RépondreSupprimerC’est amusant qu’on ait dissocié votre image de votre nom.
RépondreSupprimerLe sort savait déjà que vous auriez des réticences à adhérer à une quelconque chapelle.
Ce serait intéressant de savoir ce qu’est devenu le porteur du nom.
Armelle Sêpa.
Un sapin, peut-être.
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