Agneau de Lozère chez MeatCouture
« Prenez un dépliant. Que vous sachiez, au moins, ce que vous allez manger. C’est pour votre culture personnelle ».
Donc j’ai pris le dépliant. On dirait qu'il est conçu exprès pour susciter des commentaires.
* Après le destin des canards.
ripeto, fatti curare. Hai bisogno di un bravo psichiatra.
RépondreSupprimerMi aspettavo un commento un po' più strutturato. Ma apprezzo la spontaneità.
SupprimerUn dépliant comme une peinture ! La mise en scène des différentes pièces de viande ( on y verrait presque un corps humain en puzzle !) semble réfléchie et nous renvoie à bien des tableaux que nous avons vus... en payant parfois pour les voir!
RépondreSupprimer- Carpaccio pour le rouge ( Vittore le peintre vénitien du XV ème bien sûr !)
- Bacon ( Francis, le peintre du XX ème bien sûr ! « personnage avec quartier de viande » )
Et tant de peintres Carrache, Velasquez, Rembrandt,... Soutine... Zeng Fanzhi, peintre contemporain chinois ( étonnants « meat » et « meat reclining figures » de 1992) pour n’en citer que quelques-uns, ont trouvé dans la viande bien des sources d’inspiration.
En fait qu’est-ce qui peut déranger dans ce dépliant ? Le fait de pouvoir manger ces beaux morceaux d’agneaux de Lozère ? On n’est pas obligé ! Les couteaux ? C’est utile pour couper la viande !
Je ne crois pas. En fait, ce que le dépliant montre c’est le résultat du basculement de la chair à la viande : notre mort donc.
Si j’étais l’auteur du dépliant je me sentirais flatté. Je me demande cependant si la photo mérite vraiment tous ces rapprochements savants.
SupprimerCe commentaire répondait au terme « esthétique » du titre ! Quant au terme « gastronomie », je suis partante...tajine d’agneau aux artichauts (avec l’epaule ) , ragoût d’agneau aux pommes de terre ( un peu de collier..), ... quant au gigot s’il est « de sept heures » il nous laisse le temps de constater que les modes changent aussi dans les recettes de cuisine.!
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