Miguel Vallinas, Retrato 53
Dans la vision du monde de certains amérindiens, si j’ai bien compris, l’animal est une personne au même titre que l'humain. Ce qui change est juste le support physique. Dans la vision du monde de certains occidentaux, en revanche, la personne n’est qu’un masque qui cache l’animal. C'est le cas des Furries qui se déguisent en animaux pour retrouver leur vraie nature*. Ils rappellent les berserkir, célèbres guerriers-fauves des sagas nordiques. Mais ils sont nettement plus gentils.
Cf. , à ce propos, l'article de Mariane Celka : “Aimer l'animal jusqu'à la zoophrénie”, in De la bête au non-humain. Perspectives et controverses autour de la condition animale (Sergio Dalla Bernardina dir.), édition numérique Collection « Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques » 2020 (à paraître).
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