lundi 1 février 2021

La part du diable : anthropocène et bonté

 

 

Collage extrait de mon ouvrage : Faut qu’ça saigne. Écologie, religion, sacrifice*.

Le sadisme, la nécrophilie, … nous sommes tous psychanalystes lorsqu’il s’agit de commenter les motivations profondes du vivisecteur ou du chasseur. Nous cessons de l’être, en revanche, lorsqu’il s’agit d’interpréter les mobiles des militants pour la cause animale. Je développerai ce raisonnement mercredi prochain, 3 février, à partir de 15h55 (en principe), dans le cadre du Colloque du IIAC Mondes en rupture, monde inventifs. Voici le lien pour ceux qui voudraient jeter un coup d’œil : 

 

https://zoom.us/j/98608675072?pwd=L2wwS21KVnhnS1ZkNVBmbjZBWE0wQT09


* Éditions Dépaysage, 2020

2 commentaires:

  1. Depuis que j'ai lu votre dernier livre, je fais tous les marchés aux puces pour trouver une tête de sanglier à mettre dans mon salon. Je n'en avais jamais eu envie avant.

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    1. C’est à votre risque et péril. Les amateurs de trophées augmentent, mais les animalistes aussi. Et il y en a de très enflammés.

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