Pas tous pareils, les Anglais. Personnellement
je me sens plus proche d'un Anglais souhaitant rester dans l'Europe que d'un Autonomiste italien qui voudrait en sortir.
Personnellement, je ne comprends même pas comment ils peuvent vouloir en sortir. J'ai beau les écouter l'expliquer, ça ne fait aucun sens pour moi. En fait de frontière ontologique, j'ai le sentiment une étrangeté rarement ressentie, comme si c'étaient les habitants d'un autre continent. D'un autre côté, vu les conditions qu'ils ont posées pour rester, j'espère qu'ils vont décider de partir. Paradoxe peut-être, mais ce paradoxe est sans doute lié à la façon dont leurs gouvernements ont toujours considéré l'Europe : dedans sans vraiment y être (et encore, dedans pour en bloquer la construction). Au bout du compte, il me semble que la dissonance cognitive est surtout de leur côté.
Personnellement, je ne comprends même pas comment ils peuvent vouloir en sortir. J'ai beau les écouter l'expliquer, ça ne fait aucun sens pour moi. En fait de frontière ontologique, j'ai le sentiment une étrangeté rarement ressentie, comme si c'étaient les habitants d'un autre continent. D'un autre côté, vu les conditions qu'ils ont posées pour rester, j'espère qu'ils vont décider de partir. Paradoxe peut-être, mais ce paradoxe est sans doute lié à la façon dont leurs gouvernements ont toujours considéré l'Europe : dedans sans vraiment y être (et encore, dedans pour en bloquer la construction). Au bout du compte, il me semble que la dissonance cognitive est surtout de leur côté.
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