Monts d’Arrée : intérieur de la chapelle Saint-Michel avec ses beaux vitraux minimalistes (Cliché S.D.B.)
Il n’y a pas que
Saint Georges qui tue les dragons. Il y a aussi Saint Michel. Qui est un
archange, pour être précis. La
différence entre les deux est que le premier est à cheval, l’autre plus rarement.
Saint Michel a des ailes, ce qui
n’est pas le cas de Saint Georges.
Dans les Monts d’Arrée il y a une chapelle chargée de « mana »
comme diraient les Maoris, consacrée à Saint Michel. Elle est complètement
vide, ce qui contribue à son allure mystique*. En face, bien dissimulée, il a la commune de Botmeur. Sur la
droite, de l’autre côté du lac de Brennilis, on distingue l'ancienne centrale nucléaire des
Monts d'Arrée, fermée depuis longtemps, « équipée du réacteur nucléaire EL4
refroidi au gaz carbonique qui fonctionnait à l'uranium non enrichi » (je cite Wikipédia). Distantes
l’une de l’autre de quelques kilomètres, la chapelle et la centrale, comme deux forces antagonistes, se font face. Et c’est Saint Michel qui a gagné.
* Toutes les
chapelles des Monts d’Arrée, me dira-t-on, sont chargées de mana.
San Giorgio non è l'unico a uccidere i draghi. C'è anche San Michele (che è un arcangelo, per essere precisi). La differenza tra i due è che il primo è a cavallo, l'altro raramente. San Michele ha le ali, San Giorgio no. Nei Monts d'Arrée c'è una cappella carica di "mana", come direbbero i Maori, dedicata a San Michele. È completamente vuota, il che contribuisce all'atmosfera mistica che vi regna. Di fronte, ben nascosto, c'è il comune di Botmeur. Sulla destra, dall'altro lato del lago di Brennilis, svetta la centrale nucleare dei Monts d'Arrée, chiusa da tempo, "fornita di un reattore nucleare EL4 raffreddato con gas carbonico che funziona con l'uranio arricchito" (Wikipédia). Distanti l'una dall'altra qualche chilometro, la centrale e la cappella si fronteggiano come due forze rivali. E chi ha vinto è San Michele.
San Giorgio non è l'unico a uccidere i draghi. C'è anche San Michele (che è un arcangelo, per essere precisi). La differenza tra i due è che il primo è a cavallo, l'altro raramente. San Michele ha le ali, San Giorgio no. Nei Monts d'Arrée c'è una cappella carica di "mana", come direbbero i Maori, dedicata a San Michele. È completamente vuota, il che contribuisce all'atmosfera mistica che vi regna. Di fronte, ben nascosto, c'è il comune di Botmeur. Sulla destra, dall'altro lato del lago di Brennilis, svetta la centrale nucleare dei Monts d'Arrée, chiusa da tempo, "fornita di un reattore nucleare EL4 raffreddato con gas carbonico che funziona con l'uranio arricchito" (Wikipédia). Distanti l'una dall'altra qualche chilometro, la centrale e la cappella si fronteggiano come due forze rivali. E chi ha vinto è San Michele.
Aucun archange ne sera de trop pour neutraliser tous les va-t-en guerre qui dessinent aujourd’hui un horizon toujours plus sombre.
RépondreSupprimerVous m’y faites penser, ils sont nombreux heureusement, et organisés comme une armée : Chérubins, Séraphins, Archanges, Anges ... (je dois avoir sauté quelques grades). C’est la hiérarchie céleste.
SupprimerSur le mur de ma maison, il y a une niche à oiseaux. Un couple de mésanges s’y était installé et chacun donnait de sa personne quand il s’est agi de nourrir les petits. Prudents, bien que toujours empressés, ils se posaient sur les cordes à linge face au nid pour s’assurer, je suppose, que la voie était libre, avant d’aller déposer leur approvisionnement. J’étais bien sûr sous le charme de mes petits cohabitants. Mes chats aussi, mais pour des motifs moins sentimentaux (ils déposent régulièrement à ma porte un cadavre de taupe ou de chauve-souris pour le petit déjeuner, comme on livre le lait en Angleterre).
RépondreSupprimerJ’exprimais mon désaccord quand ils montraient leurs intentions cynégétiques, mais je savais qu’il fallait s’attendre à avoir de la peine.
De violents orages ont éclaté un peu partout en France (pour bien confirmer l’entrée d’Uranus en taureau, on s’en sortait mieux que les palestiniens de Gaza).
Quelques jours plus tard, j’ai du admettre que le manège autour du gîte de mésanges avait cessé.
L’orage ? les chats ?
« Un oiseau de plus, un oiseau de moins, (...) la différence, c’est le chagrin ».