vendredi 25 mai 2018

Encore sur la moralisation de la vie animale


Jérôme Bosch Le Jardin des délices (entre 1494 et 1505) détail. 

Il y  a quelques, temps, juste pour le plaisir de la provocation, j’avais simulé l’existence d’un soit-disant « Groupe pour la moralisation de la vie animale » basé en Allemagne. (cf. l’article du 10 mars 2018). Eh bien, je n’avais rien inventé. Je viens de découvrir que le samedi 26 mai, à l’IUT de Saint-Denis, aura lieu le Colloque : « L’animal comme être vivant et non violence : vers une moralisation de la vie animale ».  Je partage l’idée de fond. Moi aussi je trouve que si, contrairement à ce que pensaient Descartes et Malebranche, les animaux sont doués d’une subjectivité, ils ont des droits mais aussi des devoirs.  Or, il s’avère que certains animaux se comportent très mal (certains sont violents, d’autres lubriques, d’autres encore affichent une avidité et une jalousie révoltantes).  Un groupe de réflexion sur la moralisation de leurs mœurs ne pourra que faire avancer  les choses. 

Tempo fa, giusto per il piacere della provocazione, avevo simulato l'esistenza di un sedicente "Gruppo per la moralizzazione della vita animale" basato in Germania. In definiva non avevo inventato niente di nuovo. Scopro infatti che sabato 26 maggio all'IUT de Saint-Denis, si terrà il convegno  « L’animal comme être vivant et non violence : vers une moralisation de la vie animale ». Condivido l'idea di fondo. Anch'io trovo che se - contrariamente a quanto pensavano Descartes et Malebranche - gli animali sono dei soggetti, hanno dei diritti ma anche dei doveri. Ora, sta di fatto che certi animali si comportano malissimo : alcuni sono violenti, altri indecenti, altri ancora mostrano un'avidità e una gelosia ripugnanti.  Un gruppo di riflessione sulla moralizzazione delle loro abitudini non potrà che far progredire le cose.

1 commentaire:

  1. Il s’agit du billet du 10 mars. Je suis,bien sûr, tombée dans le panneau, (ou plutôt, j’ai mordu à l’hameçon).

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