Mattanza. Cliché de Georges Viollon (1915-1978)
«Un grand jour pour Israël», se félicite Donald
Trump.
C'est peut-être morbide mais hier, 14 mai, je me suis connecté à France Info toutes les trente minutes pour me renseigner sur le score réalisé par l'armée israélienne (à l'heure où j'écris on dénombre 58 morts et au moins 2.700 blessés, mais on peut faire mieux).
Question 1) : Comme beaucoup d'autres gens je considère le transfert de l'ambassade des Etats-Unis à Jérusalem le geste d’un irresponsable. Faut-il en déduire que je suis un antiaméricain ?
Question 1) : Comme beaucoup d'autres gens je considère le transfert de l'ambassade des Etats-Unis à Jérusalem le geste d’un irresponsable. Faut-il en déduire que je suis un antiaméricain ?
Question 2) (je passe du coq à l'âne) : Le retour en politique de Silvio Berlusconi et les succès de la Ligue du nord me donnent la nausée.
Faut-il en déduire que je suis un anti-italien ?
Question 3) : Le caractère inhumain de la politique de Netanyahou me déconcerte ...
Question 3) : Le caractère inhumain de la politique de Netanyahou me déconcerte ...
« Oggi è un
gran giorno per Israele », esulta Donald Trump. È probabilmente un riflesso morboso, ma ieri, 14 maggio, ho ascoltato metodicamente France Info per aggiornarmi sul numero di morti e di feriti realizzato dall'esercito israeliano (in questo momento i morti sono 58 e i feriti oltre 2.700). Domanda n.1 : Come molta altra gente giudico il trasferimento dell’ambasciata
degli Stati Uniti a Gerusalemme il gesto di un irresponsabile. Dobbiamo dedurne
che sono un anti-americano ? Domanda n. 2 : L’ascesa politica di Matteo Salvini e il riciclaggio di Silvio Berlusconi mi fanno vomitare. Dobbiamo dedurne che sono un anti-italiano ? Domanda n. 3 : Il carattere inumano della politica di Netanyahu mi sconcerta ...
Ces gens s’emploient eux-mêmes à rendre leurs pays infréquentables.
RépondreSupprimerA la tristesse de la situation s’ajoute celle de devoir prendre des pincettes rhétoriques pour la déplorer.
Une tribune du monde du 18/02/18 par un historien israélien Zeev Stermhell m’avait incitée à penser « il ne prend pas de pincettes ... »
RépondreSupprimerhttp://www.lemonde.fr/idees/article/2018/02/18/zeev-sternhell-en-israel-pousse-un-racisme-proche-du-nazisme-a-ses-debuts_5258673_3232.html
Et « les routes de l’esclavage » sur Arte que je viens de visionner ne m’aide pas à répondre à cette question à laquelle je me heurte depuis longtemps : « qu’est-ce que l’humaIn? »