Le griffon blanc souriait vaguement
Bref, il devenait de plus en plus évident que l’activité principale du
griffon blanc, en dépit de ses promesses, consistait à jalouser son collègue et
à lui compliquer la vie. Il fallut donc les séparer. Un amateur de griffons
blancs ami de Monsieur Olivier accepta d’adopter le paranoïaque jaloux car « quoi
qu’il en soit, il est issu d’un chenil très réputé ». Le jour du départ, le griffon affichait un petit sourire énigmatique.
On se demandait s’il était heureux
de recommencer une nouvelle vie loin de « son tortionnaire » où
désespéré à l’idée de ne plus pouvoir compter sur le braque pour décharger sa haine
et justifier ses échecs.
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