Je découvre aujourd'hui 21 juillet votre réaction en consultant par hasard la rubrique "commentaires en attente". Ce disfonctionnement a tout l’air d’être chronique : chez Gmail on ne m’aime plus, on ne me signale plus rien ... . C’est bien aux concours de beauté réservés aux humains que je faisais allusion (concours de plus en plus chastes et de plus en plus paradoxaux).
En vérité je n’y connais pas grand chose. Je faisais mon intéressante. Je crains qu’il ne faille encore me ranger dans la catégorie des rabat-joie « politiquement corrects » : je trouve les concours de beauté, au mieux, drôles, le plus souvent pathétiques, et sordides quand on y mêle les enfants. J’ignore si ça existe pour les garçons, mais le conditionnement des fillettes à rivaliser déguisées en femmes aguicheuses me semble une monstruosité esthétique et morale (sauf quand « Little Miss Sunshine » s’en mêle). Quant à la concupiscence, une trouvaille linguistique aussi rabelaisienne dans la forme ne peut pas avoir un mauvais fond.
On dirait bien que vous voulez saboter notre été avec ses concours de T shirt mouillé (homme et femme).
RépondreSupprimerJe découvre aujourd'hui 21 juillet votre réaction en consultant par hasard la rubrique "commentaires en attente". Ce disfonctionnement a tout l’air d’être chronique : chez Gmail on ne m’aime plus, on ne me signale plus rien ... . C’est bien aux concours de beauté réservés aux humains que je faisais allusion (concours de plus en plus chastes et de plus en plus paradoxaux).
RépondreSupprimerEn vérité je n’y connais pas grand chose. Je faisais mon intéressante.
RépondreSupprimerJe crains qu’il ne faille encore me ranger dans la catégorie des rabat-joie « politiquement corrects » : je trouve les concours de beauté, au mieux, drôles, le plus souvent pathétiques, et sordides quand on y mêle les enfants. J’ignore si ça existe pour les garçons, mais le conditionnement des fillettes à rivaliser déguisées en femmes aguicheuses me semble une monstruosité esthétique et morale (sauf quand « Little Miss Sunshine » s’en mêle).
Quant à la concupiscence, une trouvaille linguistique aussi rabelaisienne dans la forme ne peut pas avoir un mauvais fond.