J’annonçais l’autre jour la fin imminente des discours gastronomiques qui évoquent le corps des animaux, sa matière, ses humeurs, sa géographie. J'y pense à nouveau en lisant cette recette à la fois
désuète et originale qui pourrait surprendre nos invités lors du repas de Noël. Elle a été publiée au temps de la révolution dans : La
Cuisinière Bourgeoise (…). À
l’usage de tous ceux qui se mêlent
de la dépense des maisons. Contenant la manière de disséquer,
connoître et servir toutes sortes
de viandes. Paris, Les Libraires Associés, 1793 :
On aura peut-être du mal à
trouver tous les ingrédients.
La Terreur coupait des têtes mais pas l’appétit.
RépondreSupprimerEt de toute façon il y avait du sang partout. Donc, tant qu’à faire …
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