Barbara Streisand a fait cloner sa chienne
Samantha, décédée à l’âge de 14 ans. Est-ce que Samantha aurait apprécié? Peut-être pas. En tout cas, cela donne des idées.
Avec trois clones de Barbara Streisand, par exemple, on pourrait réaliser une version nord-américaine du Trio
Esperança*.
* J’aborde la question du clonage dans le n. 4
de la revue Sésame (Science
et société, alimentation, monde agricole et environnement) – novembre 2018.
Nous formons individuellement des collectifs avec nos ancêtres les bactéries. Nous auraient-elles phagocytés au point que la scissiparité (par mimétisme) serait devenue l’avenir de l’homme (etc) ? La boucle serait bouclée.
RépondreSupprimer- Souviens-toi que tu es né bactérie et que tu redeviendras bactérie -
La mélancolie s’emparerait de moi si elle m’avait un jour quittée.
Et en effet, d’où Barbara Streisand tient-elle que sa chienne voulait rester-revenir ?
A priori on ne voulait même pas venir !
La parole n’avait qu’à ne pas lui manquer.
D’ailleurs, le côté « muet » des animaux non humains n’est pas étranger à la hausse de leur côte chez les gens bien. Et quand il leur prend de parler, c’est pour abonder dans notre sens.
Pour le clonage des animaux humains, il y a moins à s’inquiéter. Comme on dit en Bretagne, en substance « content de voir les gens arriver, content de les voir repartir ».
Je ne suis pas totalement hostile au meilleur des mondes : au début, ce serait plutôt drôle, dans un procès pour assassinat, par exemple, de voir la victime réapparaître pour témoigner.