Fresque pariétale dans les toilettes d’un vénérable institut universitaire.
« Comme ils commençaient à se chauffer, ils entendirent
heurter trois ou quatre grands coups à la porte : c'était l'Ogre qui revenait. Aussitôt sa femme
les fit cacher sous le lit et alla ouvrir la porte. L'Ogre demanda d'abord si le souper
était prêt, et si on avait tiré du vin, et aussitôt se mit à table. Le Mouton
était encore tout sanglant, mais il ne lui en sembla que meilleur. Il fleurait
à droite et à gauche, disant qu'il sentait la chair fraîche. Il faut, lui dit
sa femme, que ce soit ce Veau que je viens d'habiller que vous sentez. Je sens
la chair fraîche, te dis-je encore une fois, reprit l'Ogre en regardant sa femme de
travers, et il y a ici quelque chose que je n'entends pas ».
« Ucci ucci sento odor di
cristianucci!
Ma no, e l'odore della carne dei cervi - disse sua moglie, tremando.
Ma l'Orco non si lasciava ingannare, conosceva troppo bene l'odore di carne umana.
Ucci ucci sento odor di cristianucci! »
Ma no, e l'odore della carne dei cervi - disse sua moglie, tremando.
Ma l'Orco non si lasciava ingannare, conosceva troppo bene l'odore di carne umana.
Ucci ucci sento odor di cristianucci! »
La version
française diffère de l’italienne. En Italie, derrière la chair
humaine, l'ogre flaire une odeur de « cristianucci », à
savoir de « petits chrétiens ».
Oh ! Un président de la République Française avait bien parlé à Orléans en 1991 du « bruit et l’odeur » des immigrés, propos qu’il avait regretté en 2009 !
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