À partir du 24
février, la Chine a interdit le commerce et la consommation d’animaux sauvages. C'est pour des raisons valables, bien entendu, mais qui ne sont pas sans nous rappeler la pensée mythique, qui verrait dans la pandémie une sanction surnaturelle : "Avez-vous mélangé le domestique et le sauvage? Eh bien, voici les conséquences".
J’y pense en regardant ces goélands que, de toute façon, je ne mangerais pas.
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