J’aime Toulouse, de Claude Nougaro. Le ton est emphatique, c'est vrai,  mais envoutant. On partage 
l’émotion  et on se laisse entrainer par mimétisme.  J’ai horreur cependant  de la phrase 
« Ici, même les mémés aiment la castagne » et je n'adhère nullement à l’imaginaire pugilistique
qui va avec. C’est triste à dire, mais des hommes et parfois même des femmes
aiment la castagne. 
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