Pas mal, finalement, je m’attendais à pire. J’apprécie le sens de la mesure qui a inspiré ses concepteurs. J'aime tout particulièrement les lignes jaunes. Une belle trouvaille : des rayons de soleil dans les brumes de l’Iroise qui vont nous mettre de bonne humeur. Le bâtiment à notre gauche, en revanche, vieillot et disproportionné… on dirait qu'il s'appuie sur le grand pour faire son intéressant. Pourquoi l’avoir conservé ?
On est peut-être, en effet, en train de renouer avec une tendance brestoise à se faire démolir le portrait.
RépondreSupprimerÀ la guerre comme à la guerre :
« Le promoteur Océanic envisage de construire un immeuble (…) entre deux maisons historiques de Brest miraculeusement épargnées par la guerre (…) l’immeuble Caradec (1880) et la villa Crosnier (1900)(…). »*
*le Télégramme. 25/02/23
Armelle Sêpa
C'est bien ce que je voulais suggérer : chaque ville a ses traditions.
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