(Suite et fin) Qui a disséminé la myriade de sangliers qui, depuis un moment, hante les bois, les champs, les périphéries et même les centre-villes de la péninsule italienne ? On ne sait pas trop, même si on a de forts soupçons. Dans l’incertitude, disons que c’est la faute à la déprise agricole, aux écosystèmes qui n'arrêtent pas de bouger et, plus généralement, à l’État. Puisque les chasseurs n’arrivent pas à régler le problème et la peste porcine sévit, c’est bien à l’État qu’on demande une solution. Contre les sangliers, ces non-humains à quatre pattes qui avec leurs épidémies compromettent l’écoulement de la cochonaille transalpine, on a ainsi décidé de mobiliser l’armée. Acclamés par tout le monde, des spécialistes militaires utiliseront des drones pour repérer les charognes pestiférées. On n’exclut pas l’emploi de troupes au sol.
Bel exposé de la situation de la cochonnaille italienne, très drôle. Je suis d’accord pour employer les grands moyens ! Que faire d’autre…
RépondreSupprimerFMS
Alors, que faire d’autre pour protéger le jambon italien « appellation contrôlée ?après le lavage des chaussettes et l’envoi de troupes au sol ! Je ne vois qu’une action ultime un VACCIN peut être ?
RépondreSupprimerObliger les sangliers au port du masque suffirait.
SupprimerJe n’avais pas pensé aux masques… vous avez raison, on peut commencer comme ça , le coût sera moindre,
SupprimerEt avec des masques de carnaval, ce serait à la fois moins coûteux et plus marrant.
RépondreSupprimer