samedi 27 avril 2024

Promenons-nous dans les bois (tant que la peste porcine n’est pas là) (2)

 


(Suite et fin) Qui a disséminé la myriade de sangliers qui, depuis un moment, hante les bois, les champs, les périphéries et même les centre-villes de la péninsule italienne ? On ne sait pas trop, même si on a de forts soupçons. Dans l’incertitude, disons que c’est la faute à la déprise agricole, aux écosystèmes qui n'arrêtent pas de bouger et, plus généralement, à l’État. Puisque les chasseurs n’arrivent pas à régler le problème et la peste porcine sévit, c’est bien à l’État qu’on demande une solution. Contre les sangliers, ces non-humains à quatre pattes qui avec leurs épidémies compromettent l’écoulement de la cochonaille transalpine, on a ainsi décidé de mobiliser l’armée. Acclamés par tout le monde, des spécialistes militaires utiliseront des drones pour repérer les charognes pestiférées.  On n’exclut pas l’emploi de troupes au sol.

   

5 commentaires:

  1. Bel exposé de la situation de la cochonnaille italienne, très drôle. Je suis d’accord pour employer les grands moyens ! Que faire d’autre…
    FMS

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  2. Alors, que faire d’autre pour protéger le jambon italien « appellation contrôlée ?après le lavage des chaussettes et l’envoi de troupes au sol ! Je ne vois qu’une action ultime un VACCIN peut être ?

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    1. Obliger les sangliers au port du masque suffirait.

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    2. Je n’avais pas pensé aux masques… vous avez raison, on peut commencer comme ça , le coût sera moindre,

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  3. Et avec des masques de carnaval, ce serait à la fois moins coûteux et plus marrant.

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