samedi 22 février 2025

L’Église et les corvidés (pour le rétablissement de la vérité éthologique)

 



Francesco Bergoglio, ces derniers temps, n’est pas très en forme et dans la Cité du Vatican, comme on sait, il n’a pas que des amis. « Autour de lui – dit Monseigneur Vincenzo Paglia président de l’Académie pontificale pour la vie – il y a des “corbeaux“ qui spéculent sur la maladie du Pape ».

Pauvres corbeaux, toujours le mauvais rôle. J' attends les remontrances de la Ligue pour la Protection des Oiseaux*. 
 
Je me permets de faire de l'humour pour tourner en ridicule le "politiquement correct" en matière d'animaux. Ce n'est peut-être pas  le bon moment. Ce Pape-ci, en tout cas, suscite chez moi une certaine sympathie (sympathie d'agnostique)


2 commentaires:

  1. Moi je les aime beaucoup les corbeaux.
    lls ont d’ailleurs été déchus de leur ancien prestige par la christianisation, dans des régions comme la Bretagne.
    L’ethologie les a largement réhabilités au moins du point de vue de l’intellect (selon nos critères très humains).
    Pour ce qui est de leur réputation morale, je n’ai en tout cas jamais ouï dire qu’ils auraient abusé d’enfants.
    C’est donc tout à fait au premier degré que je trouve injuste de les identifier à quelque résident du Vatican que ce soit.
    Et ces tristes sires, j’aurais bien envie de les mettre indistinctement dans le même chaudron.
    Car, après nous avoir si longtemps dessiné l’enfer comme avenir pour les tentations de la chair, ils l’ont fait vivre à des multitudes d’enfants, dans une Omerta digne des plus organisés des mafieux.

    Armelle Sêpa.

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  2. Dans ma plaisanterie j’avais à l’esprit un autre genre de donneurs de leçons : les « Savonarole » du politiquement correct animalier (que je qualifie, d’ailleurs, de « nouveaux curés »). Mais je comprends votre position.

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