J'ai emprunté cette photo à La Repubblica, il me semble, ou au Corriere della Sera.
Les murènes sont en haut à droite.
On a découvert une nouvelle salle à Pompéi, d’un beau rouge pompéien. Elle est consacrée à Dionysos. On y voit du gibier. Sur les photos on aperçoit même des murènes.
J’étais en Corse, sur un rocher
qui émergeait à peine de la mer, les pieds dans l’eau. À côté de ma cheville
j’ai aperçu un joli ruban aux reflets dorés. Je n’ai pas bougé. Il s’est éloigné doucement en serpentant.
Les Romains appréciaient les murènes. Personnellement, je ne les trouve pas très appétissantes. Je préfère les anguilles - et de loin - voire même les congres. Ce qui est beau, chez les murènes, c’est qu’elles permettent de se donner des airs :
« Moi, chers amis, j’ n’ai jamais rencontré d’ours, ni de loups. Mais j’ai rencontré une murène. J’étais en Corse, sur un rocher qui émergeait à peine de la mer, les pieds dans l’eau … »*.
* Variante : « La murène était devant moi. Impériale. On s'est regardé dans les yeux. On s'est compris ».
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