Tête de sanglier dans un restaurant de Casta, en Haute-Cose (cliché de Sergio Dalla Bernardina)
Un trophée accroché
au mur : quelle drôle d'idée, que de
conserver une tête coupée à la maison.
Mais pas tant que cela, finalement. Les Jivaros le faisaient régulièrement.
Tout le monde sait qu'ils gardaient chez eux des têtes humaines savamment miniaturisées. C'étaient les têtes de
leurs ennemis, au départ, mais avec des incantations, des procédures rituelles
et des offrandes appropriées, elles devenaient des présences amicales voire
même protectrices.
C'est toujours réconfortant d'être entouré par des amis.
Mercredi prochain je participerai à un
rendez-vous organisé par le Musée de la chasse et de la nature consacré au
thème de l'animal naturalisé (19h30, 62, rue des Archives). Ceci explique mon insistance sur le
thème des trophées.
Est-ce que les fleurs séchées ça compte ? Et les pneus crevés ? (pour conjurer les accidents de la route).
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