Punks à ours de la
fin du XIXème siècle
Force est d'être
surpris par la diversité des commentaires qui circulent dans le web à propos de
ces jeunes anticonformistes,
qualifiés de zonards, ou de punks à chiens, qui font la manche à côté des
églises ou des supermarchés. Certains mettent l'accent sur le caractère
attendrissant de la solidarité entre "desperados" qui relie la
bestiole, souvent chétive, à son
maître. D'autres soupçonnent le maître d'être, en fait , un maître chanteur qui
profite de l'innocence canine, et de la compassion qu'elle produit, pour
extorquer aux passants de l'argent.
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