Fido
Bob le chat, appelé également Mimi par sa maîtresse Dany, a parcouru 20 km pour retrouver son foyer.
Casey, un Border Collie domicilié en
Angleterre, en a parcouru 100.
Peu de chose par rapport à Pero, chien de berger lui aussi,
qui en a parcouru 400.
Je trouve que plus la distance parcourue est longue, plus c'est
émouvant.
Sources :
www.leparisien.fr/.../lyon-bob-le-chat-parcourt-20-km-pour-rejoindre-ses-maitres.
www.lexpress.fr/.../l-epopee-de-pero-le-chien-pour-retrouver-ses-maitres_1787852.ht...
www.lastampa.it/2017/01/05/societa/...km.../pagina.html
La distance parcourue comme symbole de la fidélité ?
RépondreSupprimerLa distance parcourue par mon chien comme mesure de ma désirabilité : plus il marche pour me retrouver, plus il prouve que je le méritais. Plus je m'émeus de le retrouver, plus je confirme ma noblesse d'esprit. Le loup, qui n'a pas de maître, se déplace beaucoup sans pour autant s'émouvoir. Il confirme ainsi, sans besoin d'intermédiaires, sa noblesse à lui.
RépondreSupprimerEt dire que le chat de ma mère n'a parcouru que 3 km pour nous retrouver - et encore, ça lui a pris 6 mois. S'il était toujours vivant, je lui mettrais une volée, tiens !
RépondreSupprimerDites-moi, dites-moi même qu'elle est partie pour un autre que moi mas pas à cause de moi..." chantait Michel Jonaz. Mes chats m'ont abandonnée pour aller vivre auprès d'un nouveau maître.
Supprimerhttp://www.letelegramme.fr/finistere/brest/insolite-les-studios-ont-leurs-aristochats-15-02-2017-11401828.php
Mais l'histoire est belle, et ce que je ressens c'est sans doute de la jalousie mal placée, celle de l'ancien maître abandonné...et aussi un peu de culpabilité: qu'est-ce qu'il a de plus que moi? Ou plutôt qu'est ce que je dois me reprocher? Je ne comprends jamais autant les amoureux éconduits et les vieux parents abandonnés par leurs ados devenus grands que quand je pense à mes chats...
Et retrouvons Brassens et son 22 septembre.. dont la dernière phrase de la chanson toujours me charme... la nostalgie faisant place à la tristesse ?
Supprimer"Un vingt-deux septembre au diable vous partites,
Et, depuis, chaque année, à la date susdite,
Je mouillais mon mouchoir en souvenir de vous...
Or, nous y voilà, mais je reste de pierre,
Plus une seule larme à mettre aux paupières :
Le vingt-deux septembre, aujourd'hui , je m'en fous.
.......
.....
Et c'est triste de n'être plus triste sans vous "
Après, c'est aussi une question de sens de l'orientation.
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