Migrants et sédentaires chez les oiseaux
Au XIXe siècle on se plaignait beaucoup des ravages - vrais ou présumés
- apportés aux récoltes par les oiseaux
de passage. On se plaignait de ces petits migrants et, tout à la fois, on en profitait (tenderies, brochettes, pâtés
etc.). Aujourd'hui c'est pareil. Ce qui a changé est tout juste le type de migrant.
Comme je l'écrivais récemment, les habitants de Lombardie, du Trentin,
de Vénétie et du Frioul piégeaient les petits oiseaux. Tous les Alpins le
faisaient, finalement, hormis les Piémontais. Pourquoi ces derniers
s'abstenaient-ils?
1) Parce que la monarchie savoyarde n'appréciait pas ces chasses
cruelles et plébéiennes.
2) Parce que le flux migratoire, entravé par le Mont Blanc et autres massifs très imposants, passait ailleurs.
3) Parce que les oiseaux migrateurs préfèrent le calcaire des Dolomites
au granit du Cervin.
4) Autres hypothèses plus ou moins réalistes
Nel diciannovesimo secolo ci si lamentava
molto dei danni - veri o immaginari - arrecati ai raccolti dagli uccelli di
passo. Ci si lamentava di questi piccoli migratori e nello stesso tempo si
approfittava della loro presenza (tese, roccoli, spiedini pâtés ecc.). Oggi è
la stessa cosa. Quel che cambia è giusto il tipo di migrante.
Come scrivevo recentemente, gli abitanti
della Lombardia, del Trentino, del Veneto e del Friuli catturavano gli uccelli
migratori. Tutti gli Alpini lo facevano,
in definitiva, ad eccezione dei Piemontesi. Perché questi ultimi si astenevano?
1) Perché la monarchia sabauda non
apprezzava queste cacce crudeli e plebee.
2) Perché il flusso migratorio, ostacolato
dal Monte Bianco e altri imponenti massicci, passava altrove.
3) Perché gli uccelli migratori
preferiscono il calcare delle Dolomiti al granito del Cervino.
4) Altre ipotesi più o meno realistiche.
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