Centocinquanta la gallina canta, dit un comptine italienne. Ce qui a
inspiré la trame d'une vieille
comédie d'Achille Campanile.
"La scène se déroule chez Tito et son épouse Cécile, un
couple aisé mais dont la relation est
plutôt conflictuelle. Alors qu'ils sont prêts à sortir pour se rendre à une
fête chez une noble famille du quartier, la femme entend son mari chanter :
"Cinquecento, la gallina canta" Cinq cent, la poule chante ...",
ce qui suffit pour déclencher l'énième dispute : elle soutient qu'il faut dire
"Centosessanta", ne serait-ce que pour respecter la rime. Mais le mari,
qui s'en fiche de la rime ("Grâce au ciel, je ne suis pas un poète. Et même si je l'étais, je composerais mon poème en vers libres
pour ne pas te donner cette satisfaction"), n'a aucune intention de
reculer". Je ne sais pas pourquoi mais je trouve cette histoire très
amusante*.
La scena si svolge nella casa di Tito e sua moglie
Cecilia, una coppia benestante ma con un rapporto alquanto conflittuale. Sul
punto di uscire per recarsi ad una festa in casa di una nobile famiglia del
vicinato, la moglie sente il marito canticchiare "cinquecento, la gallina canta..." e ciò è sufficiente a
scatenare l'ennesimo litigio: lei sostiene che si debba dire centosessanta, non foss'altro che per mantenere la rima. Ma il marito, infischiandosene
della rima ("Grazie al cielo, non
sono un poeta. E se anche lo fossi farei versi sciolti per non darti
soddisfazione"), non intende cedere minimamente. Non so perché"
ma trovo questa storia molto divertente.
* Je l'ai tirée telle quelle de Wikipedia : "Centocinquanta la
gallina canta".
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