La correction des
copies est un moment enrichissant. Après le « bouquet misère », je
viens de tomber sur deux nouvelles merveilles. La première est le mot
« hyppothèse ». Il désigne une hypothèse, j’imagine, mais concernant
les chevaux. L’autre perle est le nom d’un fauve qui a hanté les campagnes
françaises vers le milieu du XVIIIe siècle : c’est la « Bête du Je-vaudant ».
J’ai vérifié dans le dictionnaire : le verbe « vauder » n’existe
pas. Mais la bête en question est un animal fantastique, elle a donc le droit de « vauder » comme ça lui chante.
Il est bien connu que les « Je », lorsqu’ils se mettent à « vauder » peuvent devenir féroces.
Il est bien connu que les « Je », lorsqu’ils se mettent à « vauder » peuvent devenir féroces.
Dopo il
« mazzolino miseria » mi sono imbattuto in due nuove meraviglie.
La prima è la parola « hyppothèse » (ippotesi). Designa un’ipotesi,
immagino, ma relativa ai cavalli (sui o dei Cavalli). L’altra perla è il nome di
una belva che ha imperversato nelle campagne
francesi verso la metà del diciottesimo secolo : la « Bestia di
Je-vaudant ». Ho verificato nel dizionario : il verbo
« vauder » non esiste. Ma gli animali fantastici, in ragione del loro
statuto, hanno il diritto di « vauder » fin che gli pare. È noto
peraltro che i « Je », quando si mettono a « vauder »,
possono diventare feroci.
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