Intérieur d’une maison à Cortina d’Ampezzo.
Cette image doit avoir un lien
avec le contenu de mon post, mais
j’ai du mal à le saisir. Cela
renvoie peut-être, tout
simplement, à la notion de mémoire, ou de passé.
Je me souviens d’un entretien avec un vieux
chasseur du Piémont : « C’est comme ça, les renards. Il n’y avait
plus que sa patte, dans le traquenard. Et du sang partout. Lorsqu’il a compris
qu’il n’avait plus d’espoir, il a sacrifié sa patte et il s’est sauvé ».
Il nous arrive, parfois, d’être comme ce
renard : pour échapper au pire, nous sacrifions ce qui faisait notre joie
et notre fierté.
À certains, en revanche, il arrive d’être comme le traquenard.
À certains, en revanche, il arrive d’être comme le traquenard.
Mi ricordo di un’intervista con un vecchio
cacciatore piemontese : « La volpe è fatta così. Nella tagliola era
rimasta solo la zampa. E sangue dappertutto. Quando ha capito che non c’erano
speranze, ha sacrificato la zampa
e è partita ». Capita a volte
di essere come quella volpe : per salvarci, sacrifichiamo ciò che faceva la nostra gioia e la nostra fierezza.
Ad altri, invece, capita di di
essere come la tagliola.
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