Jack Vettriano, The Singing Butler, 1992
« Quand un chrétien meurt sans être en état de grâce, il passe dans le corps d’un phoque et y reste jusqu’au jugement dernier. Une fois tous les cent ans, Dieu lui permet de revenir voir les lieux qu’il a habités … Quelquefois, sous forme de beaux messieurs et de belles dames, les phoques viennent danser sur le rivage, après avoir dépouillé momentanément leurs peaux de bête. Malheur à celui qui enlève une de ces peaux » (E. Rolland, Faune populaire de France, Paris Maisonneuve et Larose, 1967, réed. VIII, p. 168), cité par Marlène Albert-Llorca, L’ordre des choses, Paris, CTHS, 1991*.
Pour les phoques c’est l’inverse.
* Un ouvrage précieux que je conseille à tout le monde.
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