mardi 2 juin 2020

« Faut qu’ça saigne ». Autour d’une publication imminente (1)






Il devait sortir en mars, puis en avril, puis … là, en principe, ça y est, c’est prévu pour le 26 juin. Il s’agit d’un petit ouvrage,  hétérodoxe comme ce blog, juste un peu plus structuré, où je pose des questions sérieuses en m’octroyant des libertés qui trouveraient difficilement leur place dans un cadre strictement académique. Il est né tout seul, pendant que je préparais une autre étude, moins impulsive, qui verra la lumière au mois de septembre. Je tiens aux deux pour des raisons différentes.

Je l’ai appelé « Faut qu’ça saigne! Écologie, religion, sacrifice » en hommage au célèbre tango  de Boris Vian  :

C'est le tango des bouchers de la Villette

C'est le tango des tueurs des abattoirs

Venez cueillir la fraise et l'amourette

Et boire du sang avant qu'il soit tout noir

Ce que j’aime dans cette trouvaille surréaliste, c’est qu’elle résume de façon lapidaire l’enthousiasme pour la « scène sanglante » que je décris et que  je cherche à expliquer dans cette étude peu dogmatique*. Pour anticiper les critiques, j’ai cru opportun de rajouter un sous-titre : « Essai d’anthropologie conjecturale ». **
Je préciserai  ma démarche dans les prochains billets.



*Un enthousiasme qu’il serait hypocrite de  rejeter sur les autres et que je contribue à propager.
** "Oui, c'est de l'anthropologie conjecturale, je sais.  Et c'est moi qui l'ai dit le premier".

3 commentaires:

  1. Moi j'attends la sortie avec impatience.

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  2. Je ne sais pas quoi consiste l'anthropologie. Mais j'ai toujours été passionné d'anthropologie conjecturale!

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