Il devait sortir en
mars, puis en avril, puis … là, en principe, ça y est, c’est prévu pour le 26
juin. Il s’agit d’un petit ouvrage,
hétérodoxe comme ce blog, juste un peu plus structuré, où je pose des
questions sérieuses en m’octroyant des libertés qui trouveraient difficilement
leur place dans un cadre strictement académique. Il est né tout seul, pendant que je
préparais une autre étude, moins impulsive, qui verra la lumière au mois de
septembre. Je tiens aux deux pour des raisons différentes.
Je l’ai appelé
« Faut qu’ça saigne! Écologie, religion, sacrifice » en hommage au
célèbre tango de Boris Vian
:
C'est le tango des
bouchers de la Villette
C'est le tango des
tueurs des abattoirs
Venez cueillir la
fraise et l'amourette
Et boire du sang avant
qu'il soit tout noir
Ce que j’aime dans cette trouvaille
surréaliste, c’est qu’elle résume de façon lapidaire l’enthousiasme pour la
« scène sanglante » que je décris et que je cherche à expliquer dans cette étude peu dogmatique*. Pour anticiper les critiques, j’ai cru opportun de rajouter un sous-titre : « Essai
d’anthropologie conjecturale ». **
Je préciserai ma démarche dans les prochains billets.
*Un enthousiasme qu’il
serait hypocrite de rejeter sur
les autres et que je contribue à propager.
** "Oui, c'est de l'anthropologie conjecturale, je sais. Et c'est moi qui l'ai dit le premier".
** "Oui, c'est de l'anthropologie conjecturale, je sais. Et c'est moi qui l'ai dit le premier".
Moi j'attends la sortie avec impatience.
RépondreSupprimerMerci, nous sommes donc au moins deux.
RépondreSupprimerJe ne sais pas quoi consiste l'anthropologie. Mais j'ai toujours été passionné d'anthropologie conjecturale!
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