La rhétorique ambiante est traversée par des discours de
réconciliation avec le reste du vivant. Nous avons saisi, finalement, le lien
profond qui nous associe aux autres créatures. Et les résultats se voient : les
gentils prolifèrent alors que les
méchants - ceux qui persistent à profiter des plantes et des animaux - sont de
plus en plus confondus.
Mon dernier ouvrage, qui va paraître d’ici trois jours aux éditions du Muséum d’Histoire Naturelle, est moins optimiste. Dans nos appropriations, dans nos « prélèvements » matériels et symboliques, on dirait que nous restons une bande d’hypocrites : nous exploitons d’un côté, nous compatissons de l’autre.
lo voglio!!!
RépondreSupprimerQuesta è proprio bella. Lo sai che dico sempre la stessa cosa.
RépondreSupprimerma mi affascina comunque
RépondreSupprimerÉ il titolo, manifestamente.
SupprimerJe l'ai commandé ! J'espère que l'édition est belle (je suis très matérialiste).
RépondreSupprimerJe l'espère aussi, je ne l'ai pas encore reçu.
RépondreSupprimerAlors je vais ronchonner parce que je l'ai commandé depuis presqu'un mois et la libraire ne l'a toujours pas reçu (si j'avais su, j'aurais commandé sur Amazon, au lieu de chercher à faire vivre le petit commerce).
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