Antonello Da Messina. Paon (1474-1475)
« Les paysans croient que plusieurs oiseaux de basse-cour qui appartiennent à des espèces relativement peu communes et remarquables par leurs particularités ont des sentiments qui rappellent ceux des hommes. On prétend que le paon cesse tout à coup de faire la roue quand il jette par hasard les yeux sur ses pieds et devient tout honteux de les voir si laids Paul Sébillot, Le folklore de France, La Faune, (1904-1906) Paris, Imago, 1984, p. 230-231
Je viens de regarder mes pieds : je comprends le paon.
RépondreSupprimerVous êtes donc très beau/belle.
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