Autrefois il n’y avait pratiquement que des gattare (femmes à chats). Aujourd’hui, paraît-il, les gattari augmentent*. Ici à Brest il y a aussi des femmes et des hommes « à goélands », mais c’est interdit. Et j'ai compris pourquoi. On nourrit le goéland une ou deux fois et il finit par s’incruster. Après il se met à faire de la peine : il regarde immobile pendant que l’on mange, il ouvre grand son bec pour montrer qu'il a faim, il pousse des cris mélodramatiques, il frappe contre la vitre. Un véritable emplâtre.
*Tout récemment Anna Mannucci a consacré un article aux « gattari » dans le Corriere della Sera. N’étant pas abonné, j’ignore son contenu, mais je suis d’accord avec elle a priori.
Il ne vous pardonne pas de l'avoir baptisé Maurice. Et on le comprend.
RépondreSupprimerC'était juste une hypothèse.
SupprimerLes limites de la confiance inconditionnelle :
RépondreSupprimer« Tom Vilsack, [...] connu pour être « Monsieur Monsanto », [....] secrétaire à l'Agriculture des États-Unis de 2009 à 2017 durant la présidence de Barack Obama, et de nouveau à partir de 2021 sous la présidence Biden. » - Wikipedia.
Ah, je crois que c’est encore une question de pieds…
RépondreSupprimerComme son cousin Charles, votre Maurice ne ferait-il pas la gueule parce qu’« Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l’empêchent de marcher » ? (parce que franchement, et sans vouloir faire d’anthropocentrisme, il a l’air de mauvaise humeur!)