« Une meute de loups dévore un cerf aux portes de la ville ». C’est beau. C’est même fantastique. On se croirait au Moyen-âge alors que c’est maintenant, chez nous. La nature sauvage revient, elle pénètre dans nos villes et s’installe. C’est comme ça, il faut s’adapter et accepter l’inéluctable. Les anciens « nuisibles » nous⁹ rejoignent, finalement, et nous continuerons ensemble, les uns à côté des autres dans le respect mutuel.
Bonjour les renards, salut les blaireaux, et vous aussi, les porcs-épics, les putois, les diablotins de Tasmanie, vous êtes les bienvenus. On va co-évoluer dans l’optimisme et la joie sous la direction bienveillante de ceux qui ont compris les erreurs du passé (on est toujours en retard, notamment dans les campagnes) et nous aideront à nous améliorer.
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