Détail d'une image publicitaire dont j'ai perdu la source
Exhibé sans pudeur, imité, reproduit en plastique, en verre, en métal, apprécié
par les artistes et les décorateurs, le trophée est à la mode. Autrement dit, l'animal mort, en dépit des
changements de sensibilité, reste un objet de fascination. Comment expliquer cet engouement? Vous
en saurez peut-être un peu plus en participant demain, lundi 14 décembre, au séminaire
"L'appropriation de la nature entre remords et mauvaise foi. Négocier avec
le vivant". Intitulé de mon intervention : « Une vie après la mort. Du bon
usage des bêtes empaillées» EHESS, salle 5, 105 bd Raspail 75006 Paris, de 15 h à 17 h.
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